4 créateurs redéfinissent le futur visuel par l’IA
Mario Klingemann
Réputé pour ses créations inspirées par l’IA, Mario Klingemann, alias Quasimondo, est un pionnier de l’art génératif. Il utilise des réseaux de neurones pour explorer l’identité, la mémoire et la perception, créant des œuvres uniques qui interrogent l’humain et la machine. Son travail a été présenté dans des galeries prestigieuses, et ses pièces sont souvent vendues en tant que NFTs ou en galerie.
Refik Anadol
Connu pour ses installations de grande échelle, Refik Anadol fusionne IA et data pour créer des expériences immersives. Ses œuvres utilisent des données en temps réel, transformant les environnements en flux visuels hypnotisants. On le retrouve dans des expositions internationales et des événements immersifs, où il repousse les limites de l’IA en art environnemental et architectural.
Robbie Barrat
Barrat est l’un des jeunes prodiges de l’art AI. Connu pour ses œuvres créées avec des GANs (réseaux antagonistes génératifs), il explore des thèmes abstraits et parfois surréalistes, notamment dans le style classique. Il a d’ailleurs attiré l’attention lorsque l’une de ses œuvres a été vendue aux enchères chez Christie’s. Son approche a aidé à populariser l’IA dans le monde de l’art contemporain.
Sofia Crespo
Sofia Crespo explore le biomorphisme, c’est-à-dire la création de formes qui rappellent la nature et le vivant, en utilisant des réseaux de neurones pour générer des créatures imaginaires et des paysages surréels. Son style unique est axé sur une esthétique organique qui questionne la nature même du vivant, et ses œuvres sont souvent exposées en ligne et dans des galeries d’art numérique.
Ces artistes incarnent la créativité de l’IA appliquée à l’art et influencent fortement le monde de l’art numérique, où leurs œuvres sont prisées pour leur innovation. Leur démarche trouve des échos dans les domaines de la mode, de la beauté et du bien-être, en ouvrant la voie à une nouvelle esthétique qui interpelle et inspire.